Un printemps dans les yeux |
De mousses cachées
De troncs endormis
De tempêtes soudaines
Voilà je m’appelle mars
De voyages reportés
De billets égarés
De nouvelles imprévues
Voilà je m’appelle mars
J’aurai beau rêver d’avance
Penser aux bulbes plantés
Aux clôtures à repeindre
Aux premiers voiliers d’oies
Rien n’y fera
Car je m’appelle mars
Véronique
© 2020 Véronique Poussart
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