Quatre strophes pour Telemann |
Il lui a dit je t’aime
Mais ce n’était pas suffisant
Il a pensé
Des mots d’amour
Il en faut cent
Cinquante pas
Derrière chez lui
Et puis devant
Mais ce n’était pas suffisant
Il en a fait cent
Cinquante tulipes
Il a cueilli
Pour un bouquet si grand
Ce n’était pas suffisant
Pour son vase
Il en fallait bien cent
Cinquante fois
À écouter TELEMANN
Même cent fois ne suffisent plus
Alors
Il l’écoute tout le temps
Véronique
© 2020 Véronique Poussart
1 commentaire:
C’est beau.
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