Paysage aux verres striés |
Le ciel était grand
bleu
La mer ouverte à tout vent
Et le sable désert
En s’approchant
En y regardant bien
Des morceaux de verre striés
D’une bouteille inconnue
Comme venus de l’espace
Ou d’une quelconque épave
Assez dans le reflet du soleil
Pour songer
À l’époque désuète des cabines
Aux maillots à mi-jambe
À ce qu’on racontait
Sur les uns et les autres
Avant de remiser les histoires
Paniers d’osier
Nappe blanche
Un frisson de décembre
Une écume paresseuse
L’ombre d’un dimanche
Les emporte déjà
Véronique
La mer ouverte à tout vent
Et le sable désert
En s’approchant
En y regardant bien
Des morceaux de verre striés
D’une bouteille inconnue
Comme venus de l’espace
Ou d’une quelconque épave
Assez dans le reflet du soleil
Pour songer
À l’époque désuète des cabines
Aux maillots à mi-jambe
À ce qu’on racontait
Sur les uns et les autres
Avant de remiser les histoires
Paniers d’osier
Nappe blanche
Un frisson de décembre
Une écume paresseuse
L’ombre d’un dimanche
Les emporte déjà
Véronique
© Véronique Poussart 2017
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